Damien 79 – Dans L’Attente De La Suite (1)

Cela faisait maintenant 3 semaines que nous étions rentrés de Thaïlande.
Mon traitement hormonal avait porté ses fruits, j’avais maintenant une belle poitrine, mes fesses étaient devenues bien rondes, je n’avais plus de pilosité, ma voix était devenue très féminine et avec mon opération, on ne distinguait plus rien chez moi de masculin si ce n’est la pomme d’Adam.
Par contre les effets secondaires de mon traitements, si effets secondaires on pouvait dire faisaient que j’étais constamment en chaleur.
Je pensais à tout cela ce vendredi matin en sortant du supermarché, poussant mon caddy vers ma voiture, toute en me disant que Pierre avait intérêt d’être en forme ce soir.
Dès qu’il serait entré j’allais le violer.
Quand Pierre rentra, je lui sautai au cou et lui roulai une pelle d’enfer.
Les mains de mon homme se mirent à courir tout le long de mon dos, il s’écarta de moi et me dit "Quel accueil !
- Tu n’aimes pas ?
- Oh que si.
- J’ai envie de toi, je veux ta bite en moi.
- Dit comme ça je ne vois pas comment refuser.
- Et toi, tu n’as pas envie de mon cul ?
- Plutôt deux fois qu'une.
- Alors viens au lit !
- D’abord on va manger un morceau car ce n'est pas bon de baiser le ventre vide
- Je savais que tu dirais ça alors j’ai préparé des sandwichs".
Nous bûmes un verre puis nous engloutîmes les sandwichs.
Une fois terminé Pierre me dit "Bien, maintenant passons dans la chambre, j'aimerai que tu me déshabilles et que tu te déshabilles et qu'on aille prendre une douche avant de baiser et qu'en ressortant tu ne remettes simplement que ton slip".
Il me laissa passer devant lui et quand j'entrai dans la pièce Pierre me dit "Tu sais que ton cul est de plus en plus superbe".
Je lui souris et me déhanchai de plus belle.
Au moment d'entrer sous la douche Pierre me dit "J'aimerais que ce soit toi qui me lave".
Je fis selon son désir, je savonnai abondamment ses épaules, ses aisselles ainsi que son torse et le frottais vigoureusement, après je le fis se tourner et lui lavai les dos ainsi que les fesses puis je m'agenouillai devant lui et nettoyai ses pieds, ses jambes et ses cuisses en prenant soin de ne toucher ni à son pénis ni à ses bourses gonflées de sève, je le rinçai à l'eau froide puis prenant un gant de crin j'entrepris se lui faire sa toilette intime, ayant glissé la savonnette dans le gant j'enduis ses parties génitales de mousse tout en tirant bien sur la peau du prépuce pour dégager le gland, une fois le tout bien propre je pris la pomme de la douche et réglant le débit d'eau au minimum je le rinçai à l'eau plus que tiède, le traitement avait fait son effet, Pierre arborait une belle érection.


Ne prenant plus garde à lui je me mis à faire ma toilette.
Quand je sortis de la salle de bains ayant pris soin de remettre un slip propre, Pierre était debout au milieu de la chambre les jambes écartées, je compris ce qu'il voulait, je vins m'agenouiller devant lui et commençai à caresser le pénis érigé.
Celui-ci réagit aussitôt, il grandit encore, l'entourant de mes doigts je me mis à le masturber lentement.
Au bout de quelques instants de ce traitement, Pierre qui avait fermé les yeux tendait son ventre vers moi, j'arrêtai mes attouchements manuels, penchai ma tête vers ce magnifique priape et du bout de la langue, je me mis à lécher le gland turgescent, mon amant laissa échapper un gémissement, ouvrant tout grand la bouche j'enfournai l'objet de ma dévotion et commençai à monter et descendre dessus.
Je suçai cette merveilleuse pine pendant une demi-heure m'arrêtant chaque fois que je sentais les prémices de l'explosion, mais mon mec n'y tenant plus, prit ma tête entre ses mains et l'immobilisa et se mit à donner des coups de reins violents se servant de ma bouche comme d'un cul.
Soudain plaquant mon visage contre son pubis, il éjacula en râlant, une énorme giclée de foutre pulsa au fond de ma gorge et je l'avalai avec délice continuant à flatter la bite qui tressautait dans ma bouche.
Quand Pierre me relâcha, il me dit "Tu es vraiment la déesse des suceuses".
Pierre me releva, me prit dans ses bras et écrasa ses lèvres sur les miennes, je répondis à son baiser enflammé, tandis que ses mains courraient sur mon dos descendant vers mon derrière.
Il glissa une de ses mains sous mon slip et un doigt inquisiteur s'insinua entre mes fesses et vint titiller mon anus, celui-ci s'ouvrit aussitôt sous la caresse "Oh là là !!
C'est vrai que cette petite chatte a une grosse envie, ne t'inquiètes pas je vais bien te bourrer".
Pierre me déposa sur le sol à plat ventre, me massant la nuque ainsi que les épaules.

Une fois qu'il m'eut bien décontracté, il me retourna et me caressa les seins tout en me pinçant les tétons, tous ces attouchements conjugués me basculèrent dans une douce langueur, je frémis.
Pierre, se pencha sur moi, et se mit à me lécher le nombril, un gémissement échappa de ma gorge, puis il me retourna délicatement et sa langue se posant dans mon cou, commença à descendre sur mon dos le long de ma colonne vertébrale, sous l'effet de ces caresses, je me tortillai doucement sur le sol plongeant de plus en plus dans le désir, c'est là que je me rendis compte que je planais déjà alors que Pierre n'avait pas encore ni baissé mon slip ni touché à mon cul.
Longtemps l'homme ne pratiqua sur moi que des attouchements buccaux et manuels, les yeux clos, je savourais ce bien-être tour en râlant.
Jugeant que j'étais à point, Pierre arrêta et je sentis mon string glisser le long de mes cuisses, ses mains se posèrent sur mes fesses et entreprirent de les masser, au bout de quelques instants de ce traitement, j'avais le fessier brûlant mon amant écarta mes miches et une langue pointue s'insinua dans ma raie, à ce contact mon anus s'ouvrit légèrement et la langue inquisitrice me pénétra, je gémis.
Patiemment, Pierre m'ouvrit complètement le cul, sa langue râpeuse allait et venait sur ma corolle, je me sentis fondre, j'étais totalement en transe je voulais qu'il me baise et je lui dis "Aaaahh je t'en supplie encules-moi ahhh.
- Pas tout de suite, un peu de patience, tu jouiras encore plus.
- Noonnn, je veux ta bite tout de suite, je veux qu'elle me casse le cul !".
- Tu vas l’avoir mais un peu de patience petite salope".
Pierre continua à me travailler le trou jusqu'au moment où ne tenant plus, je mis à onduler au rythme de trois de ses doigts qui me possédaient, je n'étais plus que frémissements, ma tête ballottait de droite à gauche.
Pierre me remit sur le dos, m'écarta les jambes et s'agenouilla devant moi, il posa mes chevilles sur ses épaules.

Le bout durci de son sexe contre mes fesses me provoquait d'étranges sensations, il posa ses mains sur ma taille et m'avança vers lui jusqu'à ce que son gland turgescent s'insinue entre mes fesses et vienne buter contre mon anus brûlant, il promena son phallus le long de ma raie ce qui eut pour effet de me faire ronronner, puis sans prévenir, d'un violent coup de reins, il m'empala.
Malgré les préparatifs le brutal écartèlement de mes chairs par ce long priape énorme me fit hurler.
Une fois au fond de mon cul, il s'immobilisa me laissant m'habi à la monstrueuse présence qui m'obstruait le rectum, puis soulevant légèrement mes reins, il commença à me limer doucement.
Son membre sortait presque entièrement de moi pour replonger jusqu'à la garde me dilatant le fondement, dans l'état de manque où j'étais, je ne fus pas long à sombrer.
Au bout de quelques minutes, Pierre commença à me besogner plus rapidement, j'avais rejeté la tête en arrière et les yeux clos, je m'offrais totalement à celui qui me montait, son ventre musclé claquait contre mon fessier en fusion à me faire mal.
En regardant dans une glace, je voyais Pierre se ruer dans mon cul, sa grosse pine violacée allait et venait en moi à une vitesse folle, ses mouvements me provoquaient des ondes de bonheur qui partaient du bas de mes reins embrasant tout mon être, je ne fus pas long à atteindre le point de non-retour, je tendais ma croupe vers mon amant pour accen sa pénétration et me mis à onduler tout en gémissant.
Je ne savais plus depuis combien de temps, Pierre était en moi, mais je voulais qu'il y reste indéfiniment tant le plaisir qu'il me donnait était intense.
Pierre me possédait maintenant à une vitesse folle, ses va et vient me firent rapidement atteindre le septième ciel, je me tordais comme un damné sur le sol me cambrant pour m'offrir encore plus à ce pal qui me forait les reins à me rendre fou, j'avais l'impression que mon trou déversait de la lave tellement j'étais excité, je me mis à délirer.

"ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh".
C'est à cet instant que s'enfonçant au plus profond de moi-même, Michel juta en feulant.
Ses puissants jets de semence fusèrent contre mes parois surchauffées, je me cambrais et un spasme foudroyant explosa en moi, j'hurlai de plaisir et retombai lourdement sur le sol où je restai allongé, cuisses écartées et les yeux clos savourant le merveilleux moment qui venait de se passer.
Quand je rouvris les yeux, mon mec était toujours planté entre mes fesses, il se retira et me dit "Ça t'a plu ?
- Ce fut merveilleux, tu m'as baisé comme un dieu.
- Merci, mais il faut dire que tu as un cul de rêve.
- C'est possible, mais tu es un enculeur magnifique.
- Merci, si tu le dis, je veux bien te croire, mais si tu es la déesse des suceuses, tu es aussi la déesse des baiseuses.
- Si je t'ai rendu heureux je le suis aussi
- Oh oui je suis heureux, mais j'ai encore envie de te baiser.
- Et moi j'ai encore très envie que tu me baises.
- Allez viens donc me nettoyer la bite avec ta petite langue experte de pompeuse".
Pendant cette discussion, le phallus s'était redressé, je posai ma tête sur le ventre de Pierre et commençai à lui donner des petits coups de langue sur le gland.
Aussitôt, le pénis grossit pour reprendre ses dimensions phénoménales, mon amant posa sa main sur ma nuque et me força à engloutir son superbe sexe, j'eus du mal à le pendre en bouche mais j'y arrivai et me mis à le sucer lentement titillant le frein du bout de ma langue, mon homme glissa un de ses doigts dans ma grotte béante.
Cet attouchement m'électrisa et je me mis à pomper l'objet de ma dévotion avec plus d'ardeur tandis qu'une douce chaleur m'envahissait les reins.
Pierre ne résista pas longtemps au traitement que je lui affligeai et se retira du fourreau de ma bouche en me disant "Arrête sinon tu vas me faire jouir et c’est dans ton puits
d’amour que je veux déposer ma semence, mets toi à genoux, les fesses tendues et fais reposer ta tête sur la moquette".
Je me mis en position et Pierre s'agenouilla derrière moi, guidant son membre face à mon tunnel béant, il me pénétra d'un violent coup de reins qui me fit gémir, et me prenant aux hanches me fit coulisser sur son énorme pine dressée.
Au bout de quelques instants, je sentis le plaisir reprendre possession de mon être, et fermant les yeux, je me laissai aller, tout à mon bonheur de sentir la merveilleuse bite me fouiller les entrailles.
Le phallus sortait entièrement de moi très lentement et replongeait vivement au fond de mon cul en feu, je commençai à gémir sous les coups de boutoir répétés.
Je ne savais plus depuis combien de temps il était en moi, mais je voulais qu'il y demeure éternellement, tant ça me faisait du bien.
Electrisé par le plaisir que me donnait cette hampe de chair qui me pilonnait l'anus, je me mis à exciter mon amant "ohh c'est bon ahhh ouuiii tahh queue est bonne, vas-y plus aahh fort, défonce-moi la chatte ohh ouuiii".
Mon mec continuai à me posséder avec une régularité de métronome, les bruits de succion que faisait son pénis en moi, lubrifié par les bonnes giclées de foutre précédentes, me portaient au paroxysme de la jouissance, je râlai tout en me cambrant pour m'offrir encore plus à ce pal qui me forait, j'avais totalement perdu le sens des réalités, seul pour moi comptait cette queue qui me bourrait comme jamais on me l'avait fait, je me sentis partir et je me mis à hurler le plaisir que cette verge dure me donnait "aaaaaaaaaaaahhhhhhhhh
ahhhhhhhhhhhhh ouuiii ooooooooooohhhhh noonnn ahhhhhhhhhhhh
c'eessstttt boonnn ahhhhhhhh aaaaaaaaaaaaahhhhhhh oouuuiiii
ahhhhhhhhhhhhhh enncccoooorrrrreeeeee aaaaaaaaahhhhhhhhhh".
Quand Pierre déchargea en moi en feulant, m'inondant se sa semence abondante, un intense orgasme déferla sur moi, j'hurlai de jouissance et tombai dans une semi-inconscience, flottant dans l'univers cotonneux du plaisir sexuel.
Quand je refis surface, Pierre fumait allongé à mes côtés, il me sourit et me dit "Quel cul tu as et comment tu t’en sers, ton fion est une vraie fournaise.
- Merci mais au risque de me répéter aussi, ne pas jouir quand on est piné par une bite comme la tienne est impossible.
- Merci".
Nous nous levâmes et partîmes prendre une douche réparatrice.
Après avoir flirtés nous nous couchâmes et totalement comblé je sombrai dans un sommeil profond.

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